4'11"

La fête foraine, c'était un peu mon habitat naturel, comme le terrier celui du lapin, la savane celui du lion. En gros, je m'y sentais comme un poisson dans l'eau. L'ambiance, les odeurs, les couleurs, il y avait tout pour m'attirer et rien pour me faire reculer. Je me sentais déjà emporté au pays de l'enfance avec tous ces souvenirs. L'odeur des churros délicieusement frits qui n'attendaient que moi pour venir les manger, la vue des stands avec toutes les énormes peluches que personne ne gagnait jamais, les gens qui se baladaient barbapapa en main .. Quand Emilie se mit sur la pointe des pieds pour me faire un baiser, je souris.

« Je sais je sais, on me le dit souvent. »

Est-ce que j'avais pris des hormones de croissance ? A part si ma mère m'en avait mis dans mes céréales le matin au petit déjeuner je croyais que non. J'avais juste grandi comme l'homme que j'étais et j'étais plutôt fier de ma taille car comme ça toutes les femmes étaient plus petites que moi. Enfin pas toutes mais je n'avais jamais rencontré de femme plus grande que moi.

« Non mais toi t'as dû prendre un stage chez les liliputiens t'es toute pitite ma pauvre ! »

Je lui tapotais le dessus de la tête pour montrer à quel point elle était petite par rapport à moi, et puis elle me posa une question que j'attendais depuis un siècle au moins. Est-ce que je voulais lui gagner une peluche.

« Mais bien sûr Emilie Jolie, j'y vais tout de suite ! »

Je la pris par la main et l'amenais vers un des stands de tir. Là, il y avait des ballons derrière une grille et je devais tirer à la carabine pour les éclater. Je payais avec mon argent des cartouches et armais mon fusil pour tirer. Une .. Deux .. Trois .. Et ça s'éternisait. Je reprenais toujours des nouvelles cartouches pour tirer dans les ballons mais je ratais à chaque fois. C'était pas de chance ! Je regardais Emilie avec un air penaud mais je reccomençais toujours pour ne pas la décevoir. Finalement, je réussis à éclater un ballon.

« OUAAAAAAIS YOUHOUUUUU TU VAS AVOIR UNE GIGANTESQUE PELUCHE ! »

Et là le vendeur me tendit une petite peluche nounous avec un cœur entre ses mains. Elle était minuscule, elle tenait dans la paume de la main. Je me tournais vers Emilie un peu déçu et lui donnais la peluche.

« Bon euh mieux vaut une petite peluche que pas de peluche du tout, non ? »

I took my love and I took it down
I climbed a mountain and I turned around
And I saw my reflection in the snow covered hills
Well the landslide brought me down

(landslide. )

矮

http://img46.xooimage.com/files/e/e/b/scrap-43-17a8361.png

Code:

[font=Courier New][size=24][center]SCÉNARIO REMIS EN JEU ![/center][/size][/font]

not at all like I thought

I would pee on everything

* j'ai juste copier coller, c'est pas moi qui l'a dit quoi x) *

Daniel S. Rendling

Je savais que j'étais cruel en lui demandant un tel choix. Elle ne pouvait pas choisir, je le savais vraiment. Mais d'un autre côté, cela me servait à voir quel était son amour pour moi. Elle aurait pu quitter le glee club pour m'avoir, et apparemment, elle choisissait de ne pas le faire. C'était de sa faute, au final. « Quelque chose à dire ? » Elle semblait énervée, mais d'un côté, elle en avait bien le droit. Je ne m'en rendais pas compte mais ce que je disais était incroyablement égoïste et égocentrique, et la situation devenait de pire en pire. Je ne savais pas comment arranger tout cela et je me demandais si vraiment, notre relation n'allait pas finir aux oubliettes. Après tout, peut-être que si je sortais avec quelqu'un d'autre et que je lui montrais, elle arrêterait de s'attacher au glee club et, jalouse, elle ferait tout pour me récupérer. « Comment tu peux me faire ça ? Je croyais que ... Tout ce que tu m'as dit c'était que des conneries alors ? Tu ne comprends pas que j'ai vraiment vraiment besoin de toi, ainsi que du Glee Club ? Je sais que tu tiens à ta popularité et d'ailleurs je t'ai jamais demandé de la lâcher pour moi ... Pour nous. » Bien sûr que si, c'était ce qu'elle me demandait. Elle voulait être avec moi. Et en étant avec un membre du glee club, je pouvais dire adieu à ma réputation. Ne s'en rendait-elle pas compte ? Elle fit une petite pause durant laquelle j'eus le temps de réfléchir. Devais-je partir, mettre fin à cette conversation maintenant pour le bien de tous ? « Tu peux pas me demander de choisir entre toi ou le Glee Club ... » Elle prit ma main, et une agréable sensation de chaleur envahit mon corps. Seulement, je ne pouvais pas me laisser avoir aussi facilement, ainsi, je rompais le contact entre nos deux corps froidement et reprenais la parole. « Si je peux. C'est soit ma réputation, soit ton petit glee club. Et à choisir, je préfère encore ma réputation. » Que de paroles égoïstes ! « J'ai pris ma décision. Nous ne devons pas rester ensemble si c'est pour se buter encore et encore à la même évidence : ni toi ni moi ne voulons renoncer à ce qui nous tient à cœur. Cela prouve bien que nous ne nous aimons pas .. tant que ça. » C'était vraiment cruel mais je l'avais dit, et j'en étais même fier. Je croisais les bras et portais mon regard au plafond. « Ce sont des adieux alors. Porte toi bien. » Et sans un mot de plus, je me retournais et me mêlais à la foule de lycéens qui passaient dans les couloirs. Ma gorge était serrée, et je n'osais me retourner pour voir l'état dans lequel était Lyza. Je venais de nous faire mal, à tous les deux.

eternal sunshine of the spotless mind

Je savais que j'étais cruel en lui demandant un tel choix. Elle ne pouvait pas choisir, je le savais vraiment. Mais d'un autre côté, cela me servait à voir quel était son amour pour moi. Elle aurait pu quitter le glee club pour m'avoir, et apparemment, elle choisissait de ne pas le faire. C'était de sa faute, au final. « Quelque chose à dire ? » Elle semblait énervée, mais d'un côté, elle en avait bien le droit. Je ne m'en rendais pas compte mais ce que je disais était incroyablement égoïste et égocentrique, et la situation devenait de pire en pire. Je ne savais pas comment arranger tout cela et je me demandais si vraiment, notre relation n'allait pas finir aux oubliettes. Après tout, peut-être que si je sortais avec quelqu'un d'autre et que je lui montrais, elle arrêterait de s'attacher au glee club et, jalouse, elle ferait tout pour me récupérer. « Comment tu peux me faire ça ? Je croyais que ... Tout ce que tu m'as dit c'était que des conneries alors ? Tu ne comprends pas que j'ai vraiment vraiment besoin de toi, ainsi que du Glee Club ? Je sais que tu tiens à ta popularité et d'ailleurs je t'ai jamais demandé de la lâcher pour moi ... Pour nous. » Bien sûr que si, c'était ce qu'elle me demandait. Elle voulait être avec moi. Et en étant avec un membre du glee club, je pouvais dire adieu à ma réputation. Ne s'en rendait-elle pas compte ? Elle fit une petite pause durant laquelle j'eus le temps de réfléchir. Devais-je partir, mettre fin à cette conversation maintenant pour le bien de tous ? « Tu peux pas me demander de choisir entre toi ou le Glee Club ... » Elle prit ma main, et une agréable sensation de chaleur envahit mon corps. Seulement, je ne pouvais pas me laisser avoir aussi facilement, ainsi, je rompais le contact entre nos deux corps froidement et reprenais la parole. « Si je peux. C'est soit ma réputation, soit ton petit glee club. Et à choisir, je préfère encore ma réputation. » Que de paroles égoïstes ! « J'ai pris ma décision. Nous ne devons pas rester ensemble si c'est pour se buter encore et encore à la même évidence : ni toi ni moi ne voulons renoncer à ce qui nous tient à cœur. Cela prouve bien que nous ne nous aimons pas .. tant que ça. » C'était vraiment cruel mais je l'avais dit, et j'en étais même fier. Je croisais les bras et portais mon regard au plafond. « Ce sont des adieux alors. Porte toi bien. » Et sans un mot de plus, je me retournais et me mêlais à la foule de lycéens qui passaient dans les couloirs. Ma gorge était serrée, et je n'osais me retourner pour voir l'état dans lequel était Lyza. Je venais de nous faire mal, à tous les deux.

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:.34.:

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Je suis né un treize septembre dans un hôpital des États Unis. L'accouchement fut long et pénible mais je sortis enfin du ventre de ma mère, sain et sauf. J'avais quelques jours d'avance mais rien de très grave. Mon père était également très heureux de me voir et ils m'emmenèrent à la maison pour commencer à s'occuper de moi. J'étais un enfant très agréable. Je ne pleurais pas trop, je ne criais pas trop et je dormais beaucoup, si bien qu'au début, ils crurent que j'avais un problème mental. Mais non, tout allait bien, j'étais juste .. calme.

A l'école, cela allait bien. J'étais plutôt en train de m'amuser plus que de travailler mais j'avais des notes moyennes qui me permettaient de passer dans les classes supérieures. J'avais beaucoup d'amis et d'amies, qui me soutenaient pour tout et qui étaient à mes côtés durant tous les aspects de ma vie. Quand j'arrivais au collège, ma mère tomba malade et je dus rester beaucoup à la maison pour m'occuper d'elle. Mon père déprimait tandis que j'essayais de lui redonner le moral, et plusieurs années après, ma mère succomba à la maladie. Ce fut un coup dur pour nous, et mon père pleura de longues journées alors que je ne savais que faire. J'eus alors des mauvaises notes à l'école et je redoublais, perdant quelques amis. Mais quand mon père fit une tentative de suicide, je me dis qu'il ne fallait pas que je me laisse abattre et que je devais aller de l'avant. Je devenais le gars le plus populaire de mon lycée et rapidement, tout allait bien pour moi.

C'est en rentrant à l'université de New York que je découvris ce que voulait dire le mot amour. Je n'avais jamais rencontré une fille comme elle avant. Pauline. Elle était étudiante en musique et en danse comme moi, et nous sommes devenus de très bons amis. AU nouvel an, j'ai déclaré mes sentiments à Pauline et depuis, nous sommes un couple.

AIDHÀN J. THOMPSON

Je suis né un treize septembre dans un hôpital des États Unis. L'accouchement fut long et pénible mais je sortis enfin du ventre de ma mère, sain et sauf. J'avais quelques jours d'avance mais rien de très grave. Mon père était également très heureux de me voir et ils m'emmenèrent à la maison pour commencer à s'occuper de moi. J'étais un enfant très agréable. Je ne pleurais pas trop, je ne criais pas trop et je dormais beaucoup, si bien qu'au début, ils crurent que j'avais un problème mental. Mais non, tout allait bien, j'étais juste .. calme.

A l'école, cela allait bien. J'étais plutôt en train de m'amuser plus que de travailler mais j'avais des notes moyennes qui me permettaient de passer dans les classes supérieures. J'avais beaucoup d'amis et d'amies, qui me soutenaient pour tout et qui étaient à mes côtés durant tous les aspects de ma vie. Quand j'arrivais au collège, ma mère tomba malade et je dus rester beaucoup à la maison pour m'occuper d'elle. Mon père déprimait tandis que j'essayais de lui redonner le moral, et plusieurs années après, ma mère succomba à la maladie. Ce fut un coup dur pour nous, et mon père pleura de longues journées alors que je ne savais que faire. J'eus alors des mauvaises notes à l'école et je redoublais, perdant quelques amis. Mais quand mon père fit une tentative de suicide, je me dis qu'il ne fallait pas que je me laisse abattre et que je devais aller de l'avant. Je devenais le gars le plus populaire de mon lycée et rapidement, tout allait bien pour moi.

C'est en rentrant à l'université de New York que je découvris ce que voulait dire le mot amour. Je n'avais jamais rencontré une fille comme elle avant. Pauline. Elle était étudiante en musique et en danse comme moi, et nous sommes devenus de très bons amis. AU nouvel an, j'ai déclaré mes sentiments à Pauline et depuis, nous sommes un couple.

AIDHÀN J. THOMPSON

Après une longues journée de cours et une grosse fête. J'étais encore sous l'effet de l'alcool et je sais que si je vais directement me coucher le lendemains je vais être malade et sale. Alors autant me dégrisés avant. Je prend les première chose que je vois dans la ma chambre et pars vers les douches , avec très grande difficulté. Après de longue recherche je fini par enfin retrouvé les douches. J'ai rencontré plein de monde qui à les voir ils étaient encore plus pire que moi. Une fois arrivé , je me déshabille en tombant quelque fois , avec difficulté et part la douche. L'eau froide direct , je croyais mourir . Mais sa me fit un bien fou.

https://www.youtube.com/watch?v=aLZ0Zh9GtUE&feature=related

http://ny-dream-school.forumperso.com/t3081-un-reveil-agite-jayden#117638

http://fr.wikipedia.org/wiki/Saison_1_de_Glee