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 ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.

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ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. Vide
MessageSujet: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 18:47

ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. Tumblr_lfpjtrwoGb1qbu9t8

Léonel Élias Himsworth

FT FRANCISCO LACHOWSKI



scénario personnage inventé
18 ans
wanna be a
billionaire
alone
Francisco
Lachowski


A loser like me

Élias est né le 14 mars 1993 à Brooklyn, à New-York. Il vit à Fawkham depuis 3 ans, avec Sofiàn, son colocataire. Il est à St. German High School en temps que Footballeur. Le Glee Club ? Pour lui c'est des loosers, tout simplement, même s'il les tolère, dans l'essemble. On dit souvent de lui qu'il est ambitieux, enjôleur, intelligent mais aussi impulsif, bagarreur, distant.

→ Il déteste son premier prénom.
Lorsque ses géniteurs lui ont donné pour prénom Léonel, ça ne le gênait pas plus que ça, il était encore petit, et il le vivait bien. Son père décida de l’abandonner sa mère et lui, pour une blonde pulpeuse, et de par cette révélation, il ne s’en remit jamais vraiment. Léonel était le prénom de son père, ou plutôt le deuxième prénom de son père. Il préféra le changer en Élias, pour ne plus avoir à se rappeler tout souvenir de son paternel. Maintenant, son deuxième prénom a pris le dessus, et plus personne ne semble savoir, qu’en réalité, il se prénomme Léo, à la base. Ca le rend triste, à chaque fois, qu’il y repense, sûrement était-ce du à la fatalité ?
→ Il aime la pluie.
Sa mère lui a avoué, un jour, qu’il était un né, la seule journée du mois, où il n’avait cessé de pleuvoir. Depuis cette révélation, il se sent en parfaite harmonie, avec cette pluie, dès qu’il la croise, où qu’ils soient. Il peut trainer durant ces heures dehors, tant qu’il n’a pas cessé de pleuvoir, qu’elle soit fine, légère, et douce, ou plutôt tempétueuse et venteuse, il lui arrive fréquemment de s’asseoir sur un banc, à penser à toute sorte de choses, tout en se sentant en osmose avec cet élément. Bref, le fait est, que beaucoup de personnes trouvent cela étrange, venant de sa part, mais il ne s’est jamais senti aussi bien, que dans ces jours particuliers. D’ailleurs, sa saison préférée reste l’automne.
→ Il n’est jamais tombé amoureux.
Il ne croit tout simplement pas en l’amour. Pour lui, c’est un concept bidon, qui pousse les gens à se faire du mal, les uns aux autres. Certains diront qu’ils ont raison par rapport à sa vision bien terne, d’autres diront que c’est un idiot, de penser une telle chose de ce sentiment, qui les pousse à les rendre vivant. Bien sûr, ça n’a pas empêché Élias de sortir avec plusieurs filles, mais il ne s’est jamais vraiment accroché à l’une d’entre elles. Elles lui servaient juste à passer le temps. Il est ainsi célibataire, et complètement libre. Les flirts, les provocations, ces jeux l’amusent, au point de préférer être indépendant, que d’avoir une relation sérieuse, avec une fille, à laquelle il ne tiendra pas vraiment.
→ Footballeur, c’est toute sa vie.
Depuis qu’il est petit, il a toujours été seul. Entouré de temps en temps par une mère absente, et un père trop occupé à sauter toutes les bitchs de la ville, il se rappelle s’être souvent demandé pourquoi il ne pouvait tout simplement pas sortir, avec les autres enfants de son âge, pour jouer dans le jardin. C’est à l’âge de ses six ans, alors qu’il zappait les chaines de la télévision, qu’il regarda pour la première fois un match de football américain. D’abord un, puis deux, et ainsi de suite, jusqu’à en devenir totalement accro. Il est entré dans l’équipe de son collège à New-York, et il s’avérait être plutôt doué, il n’a jamais plus arrêté de jouer à ce sport, qui lui permet de se dépenser, de se défouler, de s’amuser, et de faire le vide dans sa tête.
→ Un jour, j’ai fait un pari avec superman, le perdant devait porter des collants.
Un pari ? Lequel ? Sans doute celui qu’il avait fait avec Sofiàn, son meilleur ami et colocataire, lors d’une soirée, bien trop arrosée. L’ambiance était parfaite, l’alcool et la drogue circulaient un peu partout. Les filles se trémoussaient. Bref, tout y était pour passer une bonne soirée. Le pari ? S. le défia de vider plusieurs bouteilles de vodka cul sec. Evidement, en bon joueur, Elias le fit sans se poser de question, jusqu’à le regretter le lendemain, en étant malade comme un chien. Il venait de prendre sa première cuite, à treize ans. Précoce ? Pas tant, pour un jeune des quartiers de Brooklyn.


all I do is shake it off

Il pleuvait en abondance dans les rues de la ville, elles étaient désertes, et de temps en temps, on pouvait y voir quelques personnes assez folles pour se risquer à défier la pluie tempétueuse. Adossée contre le mur de sa chambre d’hôpital, Méthyle Hudson s’était amenée à penser au pourquoi du comment, elle se retrouvait dans une position aussi délicate. Elle n’avait que dix-neuf ans, et elle était encore trop jeune pour assumer un enfant, son enfant. Elle se souvint avoir bu un verre, et peut-être un deuxième, puis tout était encore flou dans sa tête. Le lendemain, elle s’était retrouvée à se réveiller, dans un lit qu’elle ne connaissait pas, au côté d’un jeune homme très séduisant, qui n’était autre que Noah Himsworth, l’un de ses amis, à l’université. D’abord bouleversée, elle prit un air plus doucereux pour le réveiller, comment avaient-ils pu faire ça ? Quand ? Pourquoi lui ? Tant de questions étaient restées sans réponse. Deux mois après cet acte insignifiant à son égard, elle apprenait qu’elle était enceinte. Il lui avait fallu du temps pour l’avouer au père de l’enfant, et même à ses propres parents, qui l’avaient rejeté, de là, toute la calomnie. Méthyle se sentait mal, elle ressentait de douloureuses courbatures, et ses muscles la frictionner dans tous les sens. Les médecins appelaient ceci plus communément par des contractions. Elle dut se résoudre à quitter la fenêtre et ses pensées pour aller se coucher, en respirant durement. Puis, elle finit par appeler Noah, qui lui, appela les infirmières et tout le reste. « Le travail a déjà commencé… » Dit l’une d’entre elles. Un rictus douloureux s’afficha sur le visage de la jeune femme. Après avoir longtemps entendu des hurlements, des cris et des pleurs, tout se calme dans le couloir central de l’aile B de l’hôpital de Manhattan. Les cheveux châtains de la jeune femme étaient dans un piteux état, ses yeux étaient fatigués et possédaient des cernes, elle semblait avoir vieilli d’une dizaine d’années, en quelques heures. Noah tenait son petit garçon, dans ses bras, enroulé dans une serviette blanche, paisible et douillette. Leur fils était né. Il dormait déjà, dans les bras de son géniteur, tandis que tout se chamboulait autour de lui. Il pleuvait ce jour-là, et parfois, elle s’était mise à penser que c’était peut-être ces larmes. Non. Elle n’était définitivement pas prête pour ça. Elle n’avait pas un sous en poche, elle avait perdu sa famille, et elle n’avait plus que ses deux hommes. Dont l’un était en étude de sport à Columbia, et l’autre, n’avait que quelques heures. Puis, elle se retourna vers lui, avec un large sourire aux lèvres. « Léonel… » Ce fut les seuls mots qu’elle sut évoquer, avec sa voix tremblante.

Il fixait sa mère du regard, un peu ébahi parce qu’il venait de voir. Couchée dans le canapé, une cigarette en main, à moitié consommée, et une bouteille de vodka, dans l’autre, dont il ne restait plus qu’à prendre quelques gorgées, il regardait sa mère, sceptique. Elle n’était plus aussi belle, qu’elle ne l’était, il y avait cinq ans de cela. Elle s’était consumée face à l’alcool, la drogue, et d’autres tueries dans ce genre-là. Un sourire se dessina sur les lèvres du garçonnet, alors que sa génitrice ne semblait pas se rendre compte de sa présence. Il grimpa sur le fauteuil, puis alla lui déposer un baiser sur la joue. Peut-être aurait dû-t-elle l’appeler Candide, après tout ? Elle le regarda, avec un air dépravé. Il se recula, en baissant ses yeux sur le sol, comme s’il venait de faire une bêtise. Tandis, qu’il posait pied à terre, il se prépara à s’en aller, mais il se retourna au dernier moment. « Maman… Je peux aller jouer dehors ? » Lui demanda-t-il explicitement. Le visage de sa génitrice changea. Méthyle lui lança un regard désemparé, comme s’il devait la rattraper, parce qu’elle sombrait dans un trou noir, dans le chaos. Elle soupira longuement et secoua la tête fébrilement en guise de réponse. Il haussa rapidement les épaules, en cherchant déjà une nouvelle activité à ajouter à son programme. « T’es belle, maman. » Lui avoua-t-il, un peu gêné. Puis, il partit voir son père. Lorsque sa mère ne répondait pas, ou par un simple geste, il se disait que son père l’éclairait d’avantage. Il parcourra le couloir principal de la maison, pour atterrir dans le bureau de son père, visiblement occupé à l’ordinateur, dont sa chemise était déboutonnée. Il ne se posa pas plus de questions. Surpris pas son arrivée, il fronça les sourcils. « Je t’ai déjà dit de ne pas venir me déranger, Léonel. » Il resta à l’entrée, tout penaud. Puis, il repartit dans sa chambre, où il joua avec son meilleur ami, son doudou, sa peluche.

Il s’était couvert le visage de deux traits rouges, et de deux traits blancs. Il avait enfilé un maillot des mêmes couleurs, avec le numéro 67 affiché dessus. Il se préparait psychologique à la final du tournoi international de football US, qui allait passer à la télévision, en ce samedi. Les Knights étaient opposés à une équipe assez forte ce soir, et il ne voulait manquer ça pour rien au monde. Ses cheveux en bataille, avec deux ou trois mèches rebelles, il était fin prêt pour la finale palpitante, qui allait s’annoncer. Installé confortablement dans le canapé, il regarda, avec ses pop-corn salés, tout le match, jusqu’à en hurler, après avoir appris la victoire de son équipe favorite. Il en fut euphorique durant toute la soirée. Le football US était bien plus qu’un sport, c’était une passion pour l’adolescent. Maintenant qu’il avait douze ans, il avait passé récemment les auditions pour entrer dans l’équipe de son collège. Il était pris dans l’équipe, en tant qu’attaquant, en place de receveur. Une place importante, lui avait dit son coach, mais il avait acquis toutes les qualités pour devenir peut-être, un jour, un grand joueur. Tout ce qui lui importait, c’était son activité parascolaire. Il aimait ce qu’il faisait, il se défoulait, même si parfois, il en payait durement les conséquences, avec des blessures désastreuses. Elias était violent de nature, ce qui n’arrangeait pas vraiment les choses, surtout pas en grandissant, lorsqu’il se décida à s’affirmer.

« Sofiàn Rosenbach et Léonel Himsworth ! Le principal vous attend dans son bureau, immédiatement ! » Gronda le professeur de littérature dans toute la pièce. Il lança un regard interrogateur et amusé à son meilleur ami, qui avait un sourire ravageur aux lèvres. Ils quittaient en silence la salle de classe, tandis que tous les autres élèves les regardaient, avec un air horrifié et peureux. Léo gardait toujours la tête haute et un regard assuré, en toute circonstance, tandis que Sofiàn avait toujours un sourire aux lèvres, avec un air provocateur dans la prunelle de ses yeux. C’est ceux-là étaient simplement inséparables. Ils faisaient des conneries sans arrêt, toujours en étant ensemble. Ils s’étaient connus lorsqu’ils avaient passés les auditions pour l’équipe de football US du lycée. Suite à ça, ils s’étaient tous les deux liés d’une belle amitié. En sortant dans le couloir, ils se regardèrent. « Qu’est-ce qu’il se passe encore ? » Lui demanda Léonel, d’un air soudainement sceptique. Son meilleur ami le regardait, avec le même air, bien qu’il semblait être au courant de quelque chose. Ils parcoururent les couloirs ensemble, jusqu’à toquer à la porte du bureau du principal Stoner. La secrétaire leurs ouvrit et les fit attendre dans son bureau, en attendant que la pièce d’à côté se libère. « On va avoir des problèmes. » Coupa Sofiàn, d’un seul coup. Léo haussa les épaules, comme si ce n’était qu’une entrevue banale. Quelques instants plus tard, le principal ouvrit la porte, où deux adolescents sortirent avec une mine dépitée. Il les regarda avec un regard rageur, puis les deux amis se levèrent pour pénétrer dans la pièce idéale. Ils allèrent s’asseoir sur deux chaises. L’homme d’une quarantaine d’années qui se trouvait devant eux, respirait difficilement. « Pouvez-vous m’expliquer pourquoi les murs de la salle de musique ont été tagué ? » Leurs demanda-t-il gentiment. Avec un regard troublé, Léo regarda Sofiàn, qui semblait amusé par la situation. Puis, il baissa ses yeux sur le sol. Son meilleur ami n’arrêtait pas, et risquait d’être envoyé en maison de correction, s’il continuait. « Comment trouvez-vous ces tagues, Monsieur Stoner ? » Le provoqua-t-il. Mais, la seule réaction de l’homme fut un rire stoïque, voire même peut-être sadique. Quelque chose se tramait, et il n’aimait pas beaucoup ça. La situation lui échappait complètement. Rosenbach arrêta de sourire, et ce fut sans doute la première fois qu’il le vit, avec un air sérieux au visage. Deux autres hommes en costume entrèrent dans le bureau. « Bonjour messieurs, je vous présente Sofiàn Rosenbach, c’est celui qui a dégradé les murs de la salle de classe. », « Très bien, nous allons l’emmener au centre Kirkwood pour délinquants, dès maintenant. » Tout se passait décidément trop vite dans la tête de Léonel. Sofiàn se leva d’un geste brusque, tandis que les deux hommes s’approchaient de lui, et qu’il se débattait, en essayant de leurs échapper. « Non ! NON ! Vous ne m’aurez pas, bande de cons ! » Dans ce brouhaha, Léonel se leva d’un pas décidé et regarda le directeur du lycée. « C’est moi qui ai fait ça. » Avoua-t-il d’un air naturel. Tout se calma d’un coup, et tous le regardèrent. Perdu, les deux hommes regardèrent le vieil homme. « Qu’est-ce que tu veux dire, petit ? C’est toi qui as fait ça ? » Il regarda Sofiàn dans les yeux, en hochant à peine la tête. Puis, il se tourna vers eux et hocha la tête définitivement. Ils s’en allèrent définitivement, tandis que le vieux soupira longuement, avant de lui donner un billet d’heures de colle. Sorti de cet enfer, ils se regardèrent et leurs deux poings s’entrechoquèrent l’un contre l’autre. « Merci, mec, je te revaudrais ça. » Léonel haussa les épaules, et la sonnerie du lycée retentit dans les couloirs. Leurs sacs aux dos, ils se dirigèrent vers la sortie et sur le chemin du retour, ils ne cessèrent de se remémorer ce qu’il venait de se passer. Ils rentèrent chez les Himsworth, et une blonde était dans la voiture de son père à les reluquer. En ouvrant la porte, il entendit des cris, et vit son père avec des valises à la main. Il le regarda, un regard rempli d’amertume et d’incompréhension. « Papa… Mais.. Qu’est-ce que tu fais ? » Demanda Léo, pendant que Sofiàn était tout aussi perdu. « Je m’en vais, Léonel.. Pour toujours. » Abasourdi. Il regarda sa mère, et vit son père partir, sans lui, sans un au revoir. Sans un adieu. Ce fut à partir de ce moment qu’Elias se rebella. Son meilleur ami avait tout partagé avec lui, et le fait qu’il ait vu ça, le gênait fortement.

Il avait actuellement une quinzaine d’années, lorsqu’il déménagea de New-York, pour emménager à Fawkham. La famille adoptive de Sofiàn l’avait rejeté encore une fois, et cette fois-ci, ils décidèrent de fuguer tous les deux. Ils partirent du continent. Ils étaient tous les deux, livrés à eux-mêmes, mais Sofiàn avait sa mère biologique qui habitait là-bas, alors ils avaient décidé d’aller là-bas, pour recommencer leurs vies à zéro. Une fois sur place, ils ne purent que constater que Médyna Valdez, la mère de Sofiàn, était vraiment une femme compréhensive et gentille. Pendant trois ans, elle hébergea son fils, et récupéra même sa garde. Tandis que maintenant, alors qu’il a put reprendre une anodine, comme il en avait toujours rêvé, il vit sous le toit des Valdez-Lockart. Élias s’entend plutôt bien avec cette famille et ne quitte jamais son meilleur ami, qu’il considère comme son frère. 18 ans. Il a 18 ans à présent. Il vit dans un appartement avec Sofiàn, pour le meilleur et pour le pire. Au lycée, il fait partie de l’équipe de football US évidement. Il s’est vite rendu compte qu’une hiérarchie était à suivre, et que le Glee Club n’était pas très recommandable. Bien qu’il soit sensé les traumatisés, et qu’il ne le fait quand les autres joueurs l’y forcent, il s’en fout pas mal d’eux. Il est un looser lui aussi, et le sait très bien, vu son histoire.


I could be a superstar


PSEUDO : Patate (a)
AGE : 1* ans
AVATAR PRIS : Francisco Lachowski
COMMENT AS TU ATTERI ICI : En cherchant un forum bien, pis pouf *o*
CE QUE TU PENSES DU FORUM : Il a l'air cool ♥
CODE DU RÈGLEMENT :
FICHE : [X] Terminé [] En cours
UN PETIT MOT : Jevousaimetous*o*



Dernière édition par L. Élias Himsworth le Jeu 7 Juil - 21:51, édité 16 fois
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ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. Vide
MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 19:03

OMG, Francisco :respect:
Bienvenue ici, et trèèèèès bon choix d'avatar I love you
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 19:04

Merci Peach ♥
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Jude Hemingway-Lloyd
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♢ HOW TO BE A HEARTBREAKER.

arrivée : 28/02/2011
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 19:19

Francisco :love: Bordel de merde, qu'il est seksy ce mec :respect:
Welcome! Merci de ton inscription et good luck pour ta fiche ;D
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O. Freya Reynolds
O. Freya Reynolds


arrivée : 07/07/2011
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 19:25

  • Bienvenue. :)
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Spencer Niamh Flynn
Spencer Niamh Flynn


arrivée : 02/03/2011
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 19:28

Welcome :awaaa:
& bon courage pour ta fiche :)
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 19:33

Merci les filles I love you
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 19:50

FRANSEXCO :love: :respect: :awaaa:
bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 19:54

Quelle euphorie ! *o*
Merci, Siloé ! ♥
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Jude Hemingway-Lloyd
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arrivée : 28/02/2011
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 19:56

J'aime bien ton début de fiche au passage :love:
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 20:00

RE-Merci, Jude ! :whaaa:
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 21:55

J'HALLUCINE MON MESSAGE DE BIENVENUE C'EST PAS POSTE ! :fuck:
Donc bienvenue (à la bourre, du coup) et hypermegasupergiga bon choix d'avatar.
Et validé, bien sûr. :whaaa: :awaaa:
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 21:57

Du coup, t'es en retard, je te pardonne quand même :whaaa:
Merci ! ♥️
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 22:01

Je passe pour une mauvaise admin ! :ouiiiin: :ouiiiin:
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 22:03

Ouais,unetrèsmauvaiseméchanteadmin ! (a)

Je sais que t'es pas une mauvaise adminou (a) I love you :whaaa:
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Elenor Ziegesar
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 22:05

Tu vas voir, je vais une admin parfaite maintenant.
Enfin, a partir de demain. :awaaa:
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. EmptyJeu 7 Juil - 22:08

Je vais te surveiller pour voir ça 8)
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MessageSujet: Re: ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé.   ÉLIAS ♦ Le temps n'est qu'un instant, et il est déjà passé. Empty

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