I wish i never knew you → alex & malika

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I WISH I NEVER KNEW YOU

Elle entra dans l'auditorium. Une journée venait encore de défiler, mais malheureusement elle avait toujours été aussi difficile. Malika n'était pas le genre à s'isoler ou solitaire, habituellement elle était toujours entourée, mais depuis les derniers temps, elle avait coupé les ponts avec tout le monde et pas sans raison. Elle ne voulait voir personne. Pendant près d'une semaine elle était restée dans sa chambre, enfermée. Elle ne s'était jamais senti comme cela auparavant, c'était comme si on venait de lui arracher le coeur et ce sentiment ne faisait que s'approfondir à chaque fois qu'elle avait le malheur de croiser son regard. Il n'y avait pas de mots pour décrire ce qu'elle ressentait en le voyant. Elle voulait simplement disparaître et ne plus jamais revenir. Elle aurait aimé ne jamais déménager, comment elle ne pourrait pas savoir ce que c'est de se sentir comme ça, et en permanence. Malika n'avait jamais été le genre de fille qui avait des petits-amis ou très populaire, plutôt considéré comme psycho et obsédée par son futur, elle avait toujours laisser cet aspect de sa vie à zéro. Elle ne connaissait pas ce que c'était de dépendre de quelqu'un comme ça. En entrant dans Glee, elle s'était fait un cercle d'amis, alors qu'elle venait tout juste d'arriver. Et puis il y avait, lui, Alex Weightman, quater back, tout ce qu'elle aurait pensé de plus cliché, mais elle finit très vite par en tomber amoureuse, malheureusement ou heureusement pour elle.

Très vite, ils avaient été jumelés comme premier duo dans le Glee Club et par la même occasion capitaines. Bien qu'ils s'engueulaient et se cherchaient tout le temps, ils s'aimaient bien au fond, du moins de son côté. Au début de leur histoire elle n'aurait pas pu imaginer mieux, c'était un vrai rêve, rien n'aurait pu sembler venir gâcher ça, et pourtant elle aurait dû le savoir. Après quelques temps, ils s'engueulaient pour des riens de plus en plus souvent, ça n'allait pas pour elle et n'y pour lui. Elle avait l'impression de le perdre pour tout le monde autour d'eux. Après une énorme dispute, elle su qu'ils ne pourraient plus continuer dans cette voie, ils détruiraient tout sur leur chemin. Après une journée sans se parler, elle se présenta chez lui espèrant mettre les choses au clair mais ce qu'elle apprit lui brisa le coeur. Elle ne se rappelait même plus de comment il lui avait dit, elle semblait déconnectée. À ce moment elle su qu'elle voulait partir, le plus loin possible de lui, de ce qui avait causer toute cette histoire, il l'avait trompé, il avait couché avec une Cheerio, comment avait-elle pu croire une seule seconde qu'elle avait une chance contre eux. Elle, la petite gleek qui voulait attendre d'être mariée pour coucher avec quelqu'un, elle avait été aveugle et stupide de croire qu'il l'aimait. Elle finit par quitter le Glee Club et se renfermai sur elle-même, complètement détruite.

Depuis les derniers jours, elle se sentait très mal, car même si elle n'était plus dans Glee ça n'empêchait pas qu'elle croisait Alex un peu partout et même si elle essayait de rester forte à chaque fois qu'elle le voyait elle sentait les larmes monter. Dailleurs elle avait fini par écrire une chanson dans tout ça, elle n'était peut-être plus à Glee, mais chanter l'aidait toujours lorsqu'elle avait mal. Après ses cours, la brunette s'était faufilée dans les coulisses et avait mis le pied sur scène, tremblante. Cette chanson tout le monde aurait pu savoir de quoi, ou plutôt de qui elle parlait, mais elle ne pouvait rien y faire, elle n'en pouvait plus de se faire du mal avec lui. « What have I done? I wish I could run away from this ship goin’ under. Just tryin’ to help, hurt everyone else.Now I feel the weight of the world is on my shoulders. What can you do when your good isn’t good enough?When all that you touch tumbles down?‘Cause my best intentions keep making a mess of things. I just wanna fix it somehow [...] So I throw up my fist.I will punch in the airand accept the truth that sometimes life isn’t fair. Yeah, I’ll send out a wish,Yeah, I’ll send up a prayer. And finally, someone will see how much I care! What can you do when your good isn’t good enough?When all that you touch tumbles down? ‘Cause my best intentions keep making a mess of things.I just wanna fix it somehow. But how many it times will it take? Oh, how many times will it take for me? To get it right. To get it ri-igh-ight. »

Elle ferma les yeux, regardant devant elle puis doucement laissant les larmes déferlées le long de ses joues roses. Elle ne pouvait pas continuer, elle prit la feuille et la lança de toutes ses forces, laissant tout ce qu'elle avait gardé en elle pendant la journée sortir, de toute manière personne n'était là...plus personne n'était là. Comme toujours elle foncerait toute seule, comme elle l'avait si bien fait avant d'arriver à St German. De toute manière, si Alex lui avait apprit une chose c'était bien qu'on ne peut pas compter sur personne à part nous-même. Elle devait au moins le remercier pour ça, elle le saurait maintenant.

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« MAIS QUEL CON ! »

Encore une fois je me défoulais sur le terrain de sport, seul, pour évacuer tout ce que je ressentais. Un gros mélange de honte, de tristesse et de rage m'envahissait et je n'en pouvais plus. Deux semaines que ça durait ! Même un peu plus ! Depuis même l'instant où je savais que tout dérapé avec la Cheerios je le savais ! J'avais d'abord été rongé par la culpabilité pendant un certain temps, n'arrivant plus à regarder comme avant Malika, puis lorsqu'elle l'avait sut : c'était pire, bien pire. Mais je préférais que les choses aient été dites, que tout se soit passer honnêtement au lieu de rester dans le mensonge. Reculer la date pour lui avouer aurait été pire, bien pire que la situation de maintenant. C'était ça, ma petite consolation, car sinon, j'avais tout perdu. Son sourire, son rire, sa douceur, son regard pétillant, elle. Je l'avais perdu et quel abruti j'avais été ! J'étais pas du genre à tromper les gens, à les manipulés, leur faire du mal.. au contraire, je prônais même l'égalité et la sympathie avant tout. C'était complètement absurde comment j'avais pu, moi, trompé Malika. Je m'en voulais énormément mais malheureusement, le fait que je m'en veuille ne pouvait en rien changer la situation. J'aimerais tant un petit objet qui me permettrais de pouvoir revenir en arrière d'environ deux semaines ! Oh oui, ce serait merveilleux. Ma mère, je ne sais comment, l'a su. Elle a su comment j'avais été abruti et m'en a voulu elle aussi. Je compris qu'elle aussi avait été trompé trop de fois et était déçue que je suive les traces des hommes l'ayant trompé. Depuis ce jours, j'étais encore plus mal qu'avant.

Bon bien sûr, elle m'avait reparlé. Je m'étais libéré en lui parlant, elle avait été une source d'écoute comme avant lorsque j'étais petit et que je lui expliquais mes problèmes de la journée à l'école primaire. En ce temps j'étais encore innocent et avait des problèmes tout aussi petits que je l'étais.. c'était beau. Maintenant, c'est sale, moche et honteux. Elle m'avait écouté, avec une moue désapprobatrice et désolée pour moi tout au long de mon histoire. Elle m'avait même félicité que les choses se soient passés honnêtement sur le fait que Malika savait l'histoire au lieu d'être trompée sans le savoir. Puis, comme une mère le ferait, elle m'avait consolé en me disant « laisse la digérer ». C'était facile, c'était beau oui. Mais Malika ne "digérerais" pas comme ça. Moi-même aurait un mal fou pour accepter et me pardonner. Alors elle m'avait dit « fais toi petit mais grandis un peu » vive le pléonasme, « arrête tes conneries et comporte toi en un homme bien ». Oui maman. Je n'avais jamais sut comment était mon père mais ce que je savais c'est qu'il avait réussi à la rendre heureuse un long temps. Alors je ferais tout pour la rendre heureuse à mon tour, elle, puis si je peux, Malika. Projet purement utopique je l'avoue.

Daignera t'elle me reparler un jour ? Aucune idée. Je courrais alors, sans mon uniforme de footballeur car à présent je n'étais pas le Alex quaterback que tout le monde connaissait. Ni le chanteur du gleeclub. Non, j'étais le Alex honteux, en jogging noir, teeshirt bleu pale, transpirant comme un bœuf *hum sexy* #SBAAF# après mes divers tours de terrains où j'avais de temps en temps foncé sur les tas représentant des joueurs adverses afin de les plaqués et pouvoir canalisé plus de violence dans ma quête. Je n'avais jamais été violent, mais hyperactif comme je l'étais et surtout furieux comme moi-même, je ressentais le besoin de me défoulé, quitte à me faire mal, je l'avais bien mérité. Et cette Cheerios ! Oh qu'elle me dégoutait ! Je ne l'avais jamais aimé en plus, trop pimbêche à mon goût et j'avais flanché, comme un pauvre homme réfléchissant qu'avec ses hormones. Mais quel abruti ! Si c'était à refaire, je me serais plus préservé pour la femme que j'aurais aimé que pour cette pauvre fille qui avait du se faire déjà les trois quart du lycée. Lorsqu'enfin j'eus fini et en eu marre, je partis dans les vestiaires prendre une rapide douche pour ensuite m'habiller et partir déambuler dans les couloirs. A cette heure-ci, plusieurs étaient en cours et le lycée était désert à part quelques pinpins qui trainaient ici et là, à rien faire.

Mes pas me guidèrent vers l'auditorium. C'était mon troisième lieu préféré après le terrain de sport (associé au gymnase) et la salle de répétition du gleeclub. Lorsqu'on était sur scène, on se sentait libre, on pouvait alors exprimer ce qu'on ressentait au fond de nous même, quitte à le faire devant personne ou tout un public connu ou inconnu. C'était vraiment spécial comme sensation et ressenti, j'aimais cela. A ma venue dans l'auditorium qui fus silencieuse pour mon plus grand bonheur, je reconnus aussitôt la silhouette de Malika. A cette vue, mon cœur rata un battement. Elle était belle, même plus que ça, superbe. Je me rendais compte de jours en jours que j'avais des sentiments pour elle et des vrais. J'en étais amoureux, terriblement même et j'avais tout gâché. Je l'écoutais s'élancer dans une chanson. Je savais qu'elle aimait cela et j'admirais ça témérité et surtout tout son lexique de chanson qu'elle connaissait. Elle était très cultivée.

Aux premières notes, j'en ressentais des frissons. C'était toujours le cas plus ou moins lorsque je l'écoutais chanter mais cette fois-ci, on pouvait aisément et même presque toucher l'émotion qui s'émanait d'elle et de sa voix. C'était beau, et terriblement triste. Cela me serra le cœur tellement que j'en eu mal. Mal pour elle, mal pour nous. Alors qu'elle finissait les dernières paroles, je l'observais fermer les yeux puis pleurer. J'en avais les larmes aux yeux, sans pour autant verser de larmes, j'en étais pas habitué mais je savais que si j'avais un miroir devant moi, j'aurais les yeux rouges. Elle balança la feuille au loin d'une soudaine force. J'avais tant envie de la prendre dans mes bras, de plonger mon visage dans ses cheveux et lui souffler que tout est fini et que tout ira bien maintenant. Mais je ne fis que m'approcher, trop honteux de moi-même pour oser la toucher. Elle me verrait, très bientôt et je m'approchais encore un peu plus, même si je savais que ce que je lirais dans son regard me fera mal.

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Elle ne savait plus ou donner de la tête, quoi faire, elle tournait en rond essayant de retrouver son chemin, de continuer sans lui. Il y a un mois elle n'aurait jamais pu imaginer qu'ils en viendraient là, car malgré que leur histoire soit arrivé très vite, elle su toujours que ses sentiments envers Alex étaient sincère et que ce n'était pas simplement une illusion, parce qu'il était là. Comment expliquer que dans l'espace de quelques secondes, tout s'était écroulé. C'était insupportable de même se lever le matin, du moment qu'elle mettait le pied dans les couloirs de l'école elle sentait son coeur faiblir. Pourtant elle restait forte et marchait la tête haute. Elle ne voudrait pas leur donner raison. Après s'être absentée une semaine, les raisons étant assez évidentes, c'était aujourd'hui son retour, et elle sentait que cette journée serait très difficile.

Après avoir passé la matinée, elle resta seule à la cafétéria, observée par toutes les Cheerios et les joueurs de football. Sortir avec le quaterback de l'équipe avait fait que, qu'elle le veuille ou non tout le monde la connaissait maintenant et malheureusement ce n'était pas pour le mieux car elle se paya des regards moqueurs de la part de certaines cheerleaders et des footballeurs qui l'arrêtait dans le couloir pour lui passer des remarques aussi blessantes les unes aux autres. Puis entre les cours croiser le regard d'Alex ce qui avait eu le don de lui faire encore plus de mal qu'elle ne l'aurait cru, mais elle ne craquerait pas, aucuns d'eux ne valait la peine qu'elle se fasse du mal. Elle devrait continuer et faire comme si tout allait bien, tourner la page, car si elle restait dans cet état elle serait incapable d'en revenir. À chaque fois qu'elle fermait ses yeux, elle revivait le moment ou il lui avait tout dit, et le mal ne faisait que s'emplifier. Et puis la fameuse cheerleader qui avait couché avec lui. Cette espèce de poupée barbie qui depuis toujours était la première a vouloir la rabaisser et qui avait toujours été autour d'Alex. Et bien elle avait gagné cette fois car elle n'avait plus rien.

Elle ne voulait pas être là, elle voulait simplement le retrouver, comme avant. Reculer en arrière oublier. Elle sentait tellement seule. De savoir qu'elle avait été la seule à aimer, que lui n'avait peut-être jamais vraiment voulu être avec elle, comment le prendre? Il avait été tellement pour elle, et maintenant il n'était plus là. Avait-il voulu jouer avec elle et la faire souffrir...Elle ne savait même plus. Plus rien n'était clair maintenant. Elle se retrouvait totalement désarmée, vulnérable...plus rien à perdre, il lui avait tout enlevé. La peine était indescriptible, personne ne pourrait comprendre. Elle se sentait trahie, humiliée, comment avait-il pu faire ça? Elle ne serait jamais comme ces Cheerios, elle ne serait jamais populaire ou aussi sexy qu'elles. Ce n'était pas ce qu'elle avait à offrir. Bien qu'entre eux ces derniers temps ce n'est pas été super, elle n'avait jamais pensé qu'il ait voulu lui faire du mal. Il l'avait fait pour la faire souffrir, et bravo à lui, il avait réussi car elle était complètement détruite.

Depuis toujours, sa mère lui avait appris à s'exprimer, de quelconque façon. Pour elle s'était de chanter. Elle se rappelait alors les jours ou elle revenait et ses seuls problèmes étaient de savoir ce qu'elle dirait à son professeur le lendemain, être soi-même c'est tout, les adultes s'occuperaient du reste. En revenant chez elle il y a une semaine, elle n'avait pas su quoi dire, elle s'était contenté de pleurer le reste de la soirée dans les bras de Lyza. Son retour en début de semaine, elle ne l'avait pas vraiment voulu. Et les remarques qu'elle avait reçu tout au long de cette journée ne lui donnait qu'une envie, disparaître car clairement personne ne l'aimait dans cette ville. Elle resterait toujours la capitaine du Glee Club trop coincée que son copain la trompe, oui c'est comme ça qu'elle se faisait percevoir elle le savait et ça faisait mal. L'auditorium était un endroit de réconfort pour elle car elle pouvait enfin s'exprimer. Elle commença à chanter, sentant que tout allait lui revenir. Elle n'était pas bien, elle semblait vivre un cauchemar, maintenant elle voulait se réveiller et voir qu'Alex était là lorsqu'elle ouvrirait les yeux. Quel rêve stupide, ça n'arriverait clairement jamais. Elle avait fini par écrire cette chanson quelques jours après l'avoir quitté. À chaque parole prononcée son cœur se serrait. Après quoi, elle laissa les larmes coulées, elle en avait assez, elle ne tenait plus. Elle resta immobile sur la scène, incapable de bouger, elle voulait pouvoir se libérer de cette histoire, ne pas y porter d'importance, être forte alors pourquoi?

Elle retenu son souffle, voyant une silhouette au fond de la salle, en espérant que ce n'était pas une Cheerio ou un coéquipier d'Alex qui ne manquerait pas une occasion pour lui rappeler une fois de plus quelle idiote elle était et qui lui dirait sûrement des choses comme personne ne l'aimait et qu'elle ne valait rien aux yeux de personne. Et pourtant elle aurait préférer que ce soit l'un d'eux. Elle sentit son coeur s'arrêter lorsqu'elle l'aperçut. L'avait-il entendu? Elle ne voulait même pas savoir, elle ne voulait pas le voir. Il s'approcha de la scène alors qu'elle le regarda essayant de ne pas laisser les larmes couler. « Va t'en » dit-elle après un moment d'une voix timbrée, tremblante. On pouvait sentir dans sa voix qu'elle pleurait. Elle soutenu son regard vers lui. Elle montrerait pas qu'il avait gagné, qu'il lui avait fait du mal, elle était plus forte que cela. Elle ne lui donnerait pas ce bonheur de la voir si misérable. Elle ne le laisserait pas l'atteindre, du moins elle ne le laisserait pas savoir.

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Il est vrai que lorsque je m'étais engagé dans cette relation avec Malika, mes sentiments n'étaient pas aussi fort que ceux qu'elle me portait. A l'époque, je la trouvais jolie, fraiche et vraiment comme une fille bien. Elle m'avait plut dès le premier regard et ce n'est qu'en commençant notre relation amoureuse que les sentiments vinrent peu à peu. Malheureusement, cette pluie de dispute qui s'abattait sur notre couple finissait d'affaiblir les maigres liens qui nous unissaient et moi-même n'en pouvait plus. Mais à y réfléchir, tout était différent, car j'en étais amoureux, d'elle, de Malika. A présent j'étais sûr de mes sentiments, de ce que j'éprouvais pour elle et c'était justement cette cause que je n'avouais pas avant qui nous prouvait plusieurs disputes. Maintenant, je pourrais affirmer que si j'avais pas fait cette énorme connerie, notre couple irait mieux. Mais malheureusement, j'ai fais le con et nous voilà déchirés tous les deux. J'avais mal, c'était sûr, mais je n'osais imaginer dans quel état elle, elle était. J'avais eu vent des faits des Cheerios et d'autres footballeurs et cela m'avait mit dans une colère noire. Comment osaient-il lui faire du mal comme cela ? Ces remarques devaient être vraiment source de douleur pour elle et je continuais de m'en vouloir.

Trois jours après notre rupture, j'avais alors sut ce qui se tramait et alors que j'étais dans les vestiaires avec d'autres joueurs et coéquipiers et donc amis, je me dirigeais vers ceux qui s'amusaient à lui faire du mal. « Laissez-là tranquille » Le plus costaud d'entre eux me regarda avec un petit sourire moqueur et je fronçais alors des sourcils. « Qui ça ? T'as petite looseuse de chanteuse ? Mais tu l'as trompé mec ! Rappelle toi, c'est qu'une merde » Malgré moi, le coup était parti tout seul. Un bon coup de poing dans sa mâchoire qu'il avait mal accusé. Plaquant sa main à l'endroit où j'avais porté le coup, un silence s'installa. Ce n'était pas le capitaine, j'étais le capitaine. D'un point de vue hiérarchique, il avait rien à dire, mais pourtant il s'élança vers moi pour me plaquer contre le mur et me lancer un grand coup dans le ventre. Une bagarre commença, entre seulement lui et moi car aucun autre osait s'approcher. Au final, le coach sportif intervint dans les vestiaires vu le remue-ménage qu'on faisait et ordonna aux autres de nous séparés. Ce fut difficilement fait et alors qu'il respirait fortement, je pointais mon index sur lui en le menaçant « Ose encore faire lui faire des remarques ou bien l'insulter comme ça devant moi et on verra qui est-ce qui finira comme une merde ! ». Il me regarda méchamment pendant que le coach annonçait « WEIGTHMAN, MCLIGHT CINQ HEURES DE COLLE ! On verra si vous allez faire les malins après ça encore.. et estimez-vous heureux que je vous expulse pas de l'équipe » Je râlais et me débattais des bras qui me retenaient pour claquer la porte encore ouverte de mon casier, prendre mon sac et m'en aller. C'était un bon avant-centre ce McLight mais qu'est-ce qu'il était con. Je l'avais jamais aimé, toujours à chercher des embrouilles et rouler des mécaniques.

Elle me manquait, terriblement. Sa douceur, ses yeux pétillants, tout ! Je me sentais encore plus coupable lorsque j'avais apprit qu'elle était partie du gleeclub à cause de moi. J'avais eu droit à pleins de regards de reproches et quelques peu compatissants mais je n'en voulais pas. J'avais merder, point. Elle était tellement mieux que toutes les Cheerios réunies ! Elle avait jamais voulu me croire lorsqu'elle me faisait des crises de jalousies, mais pourtant, c'était bel et bien la vérité. En l'écoutant chanter dans l'auditorium, j'en avais été tout retourné, comme à chaque fois, mais cette fois-ci, encore plus. Elle m'avait touché aux émotions, elle avait réussi à passer ce qu'elle ressentait en chantant et s'en était magnifique, magnifiquement triste. De plus, elle avait toujours posséder une voix superbe que plusieurs enviais au gleeclub. Elle était vraiment unique. Alors qu'elle pleurait, elle me déchirait le cœur, je m'approchais, guider par mes pas et non par mon cerveau. J'avais peur de ce que j'allais voir dans son regard et entendre dans ses mots qui me seraient adressés, j'avais peur.

« Va t'en » me dit-elle d'une voix se voulant être sûre mais légèrement tremblante. J'avais vu ses pleurs, j'avais vu sa douleur et elle m'avait toucher. Je n'avais pas sut avant à quel point on pouvait avoir mal. Lorsque j'éprouvais de la douleur c'était toujours physique, jamais une douleur de l'intérieure et j'aurais bien préféré en avoir une physique à cet instant que celle-ci. Mon cœur se serrait, encore et encore au fur et à mesure que je m'approchais. D'un côté je me disais qu'il ne fallait pas que je m'approche comme cela, mais d'un autre je me sentais poussé. Il le fallait, que je m'excuse, au moins une fois, véritablement, sincèrement, qu'elle sache que je regrette, qu'elle sache que je n'ai pas voulu lui faire du mal consciemment. Les yeux rouges sous l'émotion qui me tenait encore, j'avançais silencieux pour me retrouver sur la scène, à égal d'elle. Mais je m'arrêtais, fallait pas non plus tenter plus. A quoi bon ? Se prendre une baffe magistrale ? Qu'elle s'enfuie ? Pour la première supposition, je le méritais mais j'allais pas non plus tenter.

« Je.. je te demande pardon. » Je restais quelques secondes, le cerveau embrouillé. Par où commencer ? Fallait que je profite du maigre temps qui m'était donné. « Tu ne vas peut être pas me croire mais je n'ai pas fait cela pour te faire du mal.. je, je suis qu'un abruti, j'ai tout gâché et je tenais à m'excuser, même si je sais que c'est difficile et que tu me pardonneras peut être pas, je.. » Je baissais le regard, je ne voulais pas la regarder, j'avais mal pour elle et pour nous. « j'ai honte, terriblement honte. » Je reculais alors de quelques pas, passant une main dans mes cheveux puis sur le visage, je décidais de m'en aller pour ne pas lui faire encore plus de mal.

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Elle ne voulait pas savoir. Elle en avait déjà assez de tout le monde qui lui rapellait cette histoire, même pas deux jours après son retour, elle s'était retrouvé au bas de l'échelle, comme avant. Elle n'était que la gleek, ce qui se résumait à loser aux yeux de tous, trop rêveuse pour voir qu'elle n'irait nul part. Ils ne la connaissait pas. Ils étaient tous stupide. Et elle avait toujours su qu'ils n'étaient pas du même monde, lui était quaterback et elle, elle resterait toujours la capitaine du Glee Club. Malheureusement, c'était comme ça. Dans cette école il y avait une hiérarchie...À ses yeux toute cette histoire semblait fausse, il avait joué avec elle, avec ses sentiments. Il savait très bien que pour elle c'était sérieux, qu'elle l'aimait avec des sentiments profonds et sincères. Mais elle ne l'avait jamais senti vraiment de sa part. Avait-il simplement voulu la ridiculiser et se payer sa tête avec les autres joueurs de foot? Pensait-il que de ridiculiser un membre du Glee Club, dont lui aussi faisait parti dailleurs, remonterait sa cote de pouplarité dans l'école. Elle ne voulait même pas en entendre parler. Elle ne voulait entendre parler ni d'Alex et encore moins de Glee, car si elle n'y était jamais entré, elle ne l'aurait pas connu et en ce moment elle souhaitait ne l'avoir jamais connu. Il lui avait apporté du mal plus qu'autre chose. La vérité était facile à savoir lorsqu'on la connaissait bien. Elle était toujours celle qui restait forte pour tout le monde et qui marchait la tête haute, elle ne donnerait jamais raison à de tels imbéciles. Alors qu'en vérité, elle était extrêmement fragile et sensible. Très incertaine envers elle-même, mais si elle le montrait c'était dans ces situations qu'ils en profiteraient pour la caler encore plus.

Elle ne se sentait plus appuyée et soutenue du tout, d'habitude lorsque ça n'allait pas ou que quelqu'un lui faisait des remarques ou l'insultait, Alex était là pour la défendre et remettre les autres à leur place, car malgré tout, il savait que ce qu'ils disaient lui faisait du mal. Maintenant, il les laissait faire tout simplement, et elle aussi par la même occasion. Elle n'était pas forte comme elle prétendait l'être. Comment l'expliquer? C'était comme lui avoir enlever une partie d'elle-même. Et depuis les dernières semaines c'était toujours la même question? Qu'est-ce qui l'avait poussé à coucher avec cette Cheerio? Pourquoi l'avait-il fait? Avait-il voulu la faire souffrir et l'humilier? Elle n'avait jamais imaginé qu'il puisse vouloir lui faire du mal. Elle se sentait terriblement mal dans sa peau depuis les évènements. Elle avait perdu la personne qui l'avait défini pendant si longtemps, son premier amour en faite, le seul avec qui elle avait pu imaginer un futur. Tout ça c'était disparu, leur relation était brisée. Ils avaient tout gâché, par de nombreuses disputes et qu'Alex la trompe marqua la fin de toute histoire entre eux. C'était difficile à percevoir là, maintenant, mais elle devrait pouvoir tourner la page.

Elle se rappelait le sentiment qu'elle avait ressenti la première fois qu'il l'avait embrassé, ce sentiment de bonheur ou personne n'aurait pu l'atteindre, tout simplement parce qu'il était là. Puis tout ce qui s'en suivit, alors qu'il lui prenait la main dans le couloir ou qu'elle était dans ses bras protecteurs. Ce n'était pas des choses qu'on pouvait acheter, il était le seul à pouvoir la faire sentir comme ça, personne d'autre, c'était lui ou rien. Elle n'avait jamais voulu personne d'autre qu'Alex. Maintenant lorsqu'elle repensait à ces moments, elle sentait son coeur se serrer et son corps trembler. Jamais personne n'aurait pu lui faire tant de mal. En écrivant cette chanson, c'était exactement ce qu'ils vivaient. Ça voulait tout dire et si jamais il l'entendait, il se reconnaîtrait. C'était en quelque sorte pour lui, pour lui montrer comment elle était mal à cause de lui. Était-ce stupide d'encore sentir le besoin qu'il soit avec elle? Il l'avait fait souffrir comme personne n'avait pu le faire, et pourtant elle l'aimait, elle l'aimerait toujours, mais elle ne pouvait pas pardonner ça, c'était trop difficile.

Elle regarda au loin, puis elle l'aperçu, comment faire rendu là? Elle n'était pas prête à l'affronter, pas à ce sujet. Il le savait très bien aussi. Elle ne voulait pas le voir. Ça lui faisait mal de le voir si loin d'elle et en même temps, elle ne voulait pas qu'il soit là. L'aimer ne lui ferait toujours que du mal, elle en avait eu la preuve certaine. Il s'était foutu d'elle. Il L'avait humilié et elle ne pouvait pas s'imaginer souffrir une fois de plus à cause de lui, s'en était trop. Elle n'était pas prête à lui reparler, c'était trop tôt. Il ne pouvait pas débarquer ici et penser qu'elle lui pardonnerait, bien qu'elle aurait souhaité que ce soit aussi facile, elle en était incapable, il devrait respecter ça...Elle se sentit faiblir en le voyant s'approcher quand même puis monter sur la scène. Elle ne pourrait pas tenir. Pourtant elle soutenu son regard essayant de se montrer forte et indépendante. Elle l'écoutant sentant ses mots la traverser comme des coups de poing. Elle ne voulait pas entendre ça. Elle ne voulait pas en être rendu là avec lui...et pourtant elle devrait accepter tout ça un jour. c'était terminé. « Pourquoi tu l'as fais? » Elle avait hésité. Que répondrait-il? Voulait-elle vraiment savoir? C'était trop tard...elle devait s'y attendre maintenant. Elle le regarda, cherchant une réponse, quelque chose qui saurait la rassurer...« Tu..tu m'aimais? » Faisait-elle le bon choix de vouloir tout savoir, elle ne savait pas, elle ne savait plus. Tout ce qu'elle voulait savoir c'était comment ils en étaient arrivé si loin, car sans lui c'était loin d'être facile pour elle.

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Je m'étais approché, prudemment, pour ne pas la voir s'enfuir. Elle avait soutenu mon regard, moi j'avais trop mal de lire ce qu'il y avait dans ses yeux pour pouvoir tenir plus de quelques secondes. J'avais honte, c'était un fait irréfutable, mais ce n'était pas car je ressentais cela que tout allait s'arranger, oh que non. Plus je m'approchais, plus j'avais des flash de nos moments passés ensemble. Elle et moi s'embrassant, elle me regardant avec un sourire, nous deux dans le couloir, main dans la main.. Oui, elle me manquait, c'était terrible. J'avançais, pas à pas, sur la scène, réduisant la distance entre nous deux petit à petit. Pourtant, je m'arrêtais au bout d'un moment. Il ne fallait pas non plus que j'en fasse trop, c'était bien trop tôt. D'un côté, je me demandais si ce moment arrivera un jour, ce moment où elle m'aura pardonné et me laissera la prendre dans mes bras. C'était un projet purement utopique, je vous l'accorde, mais c'était à présent ce dont je rêvais de partager avec elle. Et dire qu'il y a un tout petit peu plus de deux semaines, je l'avais ça. J'avais l'occasion de la serrer dans mes bras, de l'embrasser, de pouvoir lui dire je t'aime sincèrement et la regarder dans les yeux. De voir son si beau sourire, d'entendre son doux rire, de l'avoir près de moi. Qu'est-ce que ça faisait mal ! Et qu'est-ce que j'avais put être idiot !

Je commença par m'excuser, précisément par lui demander pardon. C'était la moindre des choses. Ensuite, je compris que c'était le moment ou jamais de commencer à m'expliquer et m'excuser. J'essayais alors d'expliquer, dictant les premiers mots qui me venaient à l'esprit, assez maladroitement je l'avoue, mais je réussis à faire au minimum quelques phrases constructives qui je l'espère étaient cohérentes. J'avais le cerveau complètement embrouillé, la peur au ventre de dire une bêtise. Je finis mes maigres tirades par avouer mon ressenti et donc la honte qui m'envahissait depuis quelques temps. Puis je me retirais, aussi doucement que j'étais apparut, sachant que mon heure était finie, regrettant n'avoir pas put m'être préparé à l'avance et avoir un peu foiré à mon goût. Alors que je lui tournais le dos, j'entendis de nouveau sa voix me questionner pourquoi je l'avais fait. Fermant les yeux, je réfléchis à toute vitesse afin de ne pas dire de bêtise. Voulant être franc, je lui répondis : « Parce que j'étais en colère, que j'étais à bout, que j'en pouvais plus de nos disputes qui me montraient que peu à peu je te perdais, que je suis faible, que cette.. » je prononçais le prochain mot avec un certain dégout dans la voix en fronçant les sourcils « ..fille est venue me chauffer et que je n'ai pas réfléchi. Oui, je suis un idiot, un grand irréfléchi, un pauvre con qui a tout gâché. Et croit moi, je m'en veux d'avoir fait autant de mal. » Je décidais de me taire car je savais que je pouvais aisément commencer à débattre sur mon intelligence minime et mes erreurs et je ne pense pas que ça aurait arrangé mon cas aux yeux de la brune derrière moi. La gorge sèche mais serrée, le cœur comprimé, j'allais amorcer un autre pas envers la sortie. J'étais à présent en bas de la scène lorsque je l'entendis me demander si je l'aimais. De nouveau, cela me fit mal et alors je relevais les yeux vers elle, osant braver ma peur de lire dans son regard sa tristesse. Elle méritait que je lui dise la vérité, toute la vérité. « Je pense que oui. Tu sais, j'ai jamais été doué pour parler ni penser sentiments, pas comme toi.. Tu m'as aussitôt plut dès que j'ai poser le regard sur toi. Je pense que c'était comme.. comme un coup de foudre. Mais, mon caractère est fait de manière que je me refusais de croire et de penser à l'amour. Je pense que je n'ai pas vu et analyser exactement les sentiments que j'avais quand j'étais avec toi et je me pensais pas amoureux, ou du moins tout juste assez pour être en couple avec toi. Mais je t'avoue que le fait de te perdre comme ça m'a fait réfléchir et assurer les vrais sentiments que j'ai envers toi qui sont en vérité bien plus importants que je ne l'avais imaginé ». Voilà, je l'ai dit. Comment va t'elle réagir ? Aucune idée, mais je sais pas quoi faire sur le coup. Je continue de lever mon regard vers elle, je n'ai vraiment aucune idée de comment va se dérouler la suite de la conversation et après tout, tout est entre ses mains. Je ne m'attends pas à des excuses acceptées et à ce qu'elle se jette dans mes bras, bien sûr que non mais une petite lueur de reconnaissance ne serait pas de refus. Ce serait ma consolation et je pourrais m'éloigner ruminé chez moi mais en sachant qu'elle sait la vérité et en la laissant être tranquille et heureuse sans moi.

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CHAPTER TWO; THIS LOVE IS TAKING ALL OF MY ENERGY

Elle n'avait pas envie de devoir jouer avec lui, car il saurait qu'elle n'allait pas. Elle ne voulait pas céder, ce ne serait pas correct de le faire, il l'avait blessé et lui avait fait du mal, ce serait stupide de sa part de le reprendre comme ça, ce ne serait pas facile comme ça. Elle était pathétique tout simplement, stupide d'avoir autant besoin de lui, et c'était affreux de devoir se lever le matin en ayant le sentiment d'être sans lui, c'était invivable. Alex était son premier amour, le seul qu'elle ait jamais aimé en faite. Elle était misérable sans lui. Il lui avait fait tant de mal et sincèrement elle ne s'imaginait jamais ressentir ce sentiment si jamais ils se laissaient. La situation était insoutenable, elle n'était pas heureuse. Si elle lui montrait ça, il penserait surement qu'elle le laisserait lui faire du mal et qu'elle se laissait faire. Alors que tout ce qu'elle souhaitait c'était de le retrouver. Comment faire maintenant, tout était confu, elle ne pouvait pas être avec lui, plus maintenant. Et qu'elle soit avec lui ou pas, ce serait le même résultat, elle resterait avec le coeur serré, car ce ne serait pas juste, alors tout ce qu'elle souhaitait là, maintenant c'était de revenir en arrière, alors qu'il l'aurait pris dans ses bras et là elle aurait été en sécurité, parce qu'avec lui rien ne pouvait lui arriver.

Elle ne pouvait pas le faire, comment gérer tout ça, alors qu'elle se payait tous les regards et les remarques qu'au moindre pas qu'elle faisait elle se sentait oppressée et jugée. Toute l'école était au courant, comment auraient-ils pu garder ça entre eux après tout? Alex était le capitaine de l'équipe de football, en d'autres mots le garçon le plus convoité de l'école. Elle n'avait pas de chance. Et puis le Glee Club, dont elle était co-capitaine avec lui. Elle n'avait pas tenu pour ça non plus. Elle avait fini par tout quitter. Ce qui l'avait défini tant de temps, n'était maintenant qu'un mauvais souvenir. Les duos qu'elle avait obtenu avec lui, tous les moments passés avec tout le monde alors que tout été facile et beau. Alors qu'elle l'avait avec elle. Les moments où ils riaient pendant des heures ou des choses comme lorsqu'elle devait monter sur un tabouret pour être aussi grande que lui, car il la dépassait de facilement une tête. C'était des souvenirs qu'elle n'oublierait pas, c'était impossible d'oublier ce genre de chose, ça resterais toujours là quoi qu'ils fassent.

Elle restait totalement immobile, elle ne savait pas quoi dire après ça. Elle ne voulait finalement pas l'entendre. Elle se sentait tellement trahie et humiliée. Alors qu'elle avait pensée qu'ils attendraient tous les deux, ou plutôt qu'il attendrait pour elle car il savait qu'elle n'était pas prête. Elle ne savait pas si elle pourrait retrouver ce sentiment de compréhension venant de sa part. Jamais il ne l'avait poussé, il ne lui en parlait pas et c'était essentiel pour elle de ne pas sentir de pression à propos de ça. En ce moment, elle avait l'impression d'avoir été idiote, stupide de penser qu'il n'y avait pas de pression, qu'ils avaient le temps, car ils en étaient venu à avoir cette confrontation. Elle était toujours là à se tenir sur la scène le regard perdu. Elle cherchait à trouver une lueur d'espoir, elle ne voulait pas avoir imaginé leur relation alors qu'elle était là seule à avoir eu des sentiments pour lui. « Je suis désolée pour toutes ces disputes, je n'ai jamais voulu te faire de mal non plus. Ça me fait mal Alex, et j'ai toujours été honnête avec toi, j'ai cru que tu voulais être avec moi pour vrai et je n'aurais pas dû me l'imaginer...» Elle soupira ferma doucement ses yeux retenant ses larmes. « Parce que maintenant ça me fait mal de te voir partir » Elle le regarda, les yeux remplis d'amertume et de regrets. Elle ne voulait pas le voir partir car du moment qu'il franchirait la porte de sortie de l'auditorium, ce serait terminé. Elle n'était pas prête à laisser ça arriver.

Tout ce qu'ils avaient vécu semblait disparaître et devenir de plus en plus difficile à accepter, mettre une crois sur lui, sur eux, malgré tout, elle en était incapable. Elle n'était pas complète sans Alex, il serait toujours la personne manquante, personne ne pourrait prendre cette place. Aussi difficile que ce soit à comprendre et même pour elle, elle ne pouvait pas vivre sans lui, mais elle devrait s'y faire, parce que clairement tout ça ressemblait bien à la fin de leur histoire...

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Que faire ? Je venais de tout lui dire, du moins sur mes sentiments. Je ne lui avais pas dit que dès que je la voyais j'avais envie qu'elle soit près de moi, de l'embrasser, la tenir dans mes bras, lui dire "je t'aime", l'aimer comme elle devrait être aimée. La rendre encore plus belle qu'elle ne l'est déjà, la rendre heureuse et pétillante comme avant et même encore plus ! Car c'est possible, oui ça l'est. J'ai eu le temps de réfléchir à mon comportement d'avant et à vrai dire, je ne m'étais pas comporté comme le petit ami amoureux devrait se comporter, non, j'avais agit comme si je sortais avec une fille banale. Et ça, elle ne l'était pas, pas du tout. Comment avais-je put être aussi idiot mais surtout aveugle ? Pendant tout ce temps, elle était là, près de moi. Bien sûr, je n'avais pas été tout le temps comme ça car je sais que peu à peu mes sentiments montaient en moi et je me comportais de plus en plus comme un mec amoureux. Mais j'avais peur de me rendre à l'évidence que j'étais amoureux. Je suppose que c'est voir ma mère tellement en échec dans sa vie sentimentale et triste à cause de cela, que moi-même j'avais peur de m'engager à dire : c'est bon, c'est elle, je suis amoureux. Oui c'était surement ça. Plusieurs camarades à moi m'avaient fait la remarque d'ailleurs que j'étais drôlement attaché à elle car ils n'y croyaient pas à notre histoire. Bien sûr, je les envoyait balader lorsqu'ils osaient faire des insinuations sur elle en la traitant méchamment, je l'ai toujours fait car je sais que ça fait mal d'entendre ça et elle ne le mérite pas du tout. C'est depuis qu'ils m'avaient fait une remarque comme quoi j'étais super amoureux de la petite chanteuse, que je pris conscience que je m'approchais trop, que mon cœur s'était trop accroché. Et de là, nos disputes devinrent plus fréquentes car je me refusais d'être amoureux. Mais quel idiot avais-je pu être !

Je restais là, en bas de la scène, à la hauteur des spectateurs non-présent à la regarder. Elle était belle, oui comme toujours. Mais elle semblait perdue et ça me serrait le cœur encore et encore. Je fermais les yeux à la fin de sa phrase, fronçant des sourcils encore une fois. « Ça me fait mal aussi Lily mais ne croit pas que je ne voulais pas être avec toi ! Bien au contraire, j'ai adoré être avec toi.. tous ces moments, superbes, mais.. j'avais peur, peur de mes sentiments. Ce n'est pas du tout de ta faute, c'est de la mienne.. ». Lily, un surnom que j'aimais lui donner de temps en temps, du moins avant. Je l'observais fermer les yeux et m'avouer que ça lui faisait mal de me voir partir. Il est vrai qu'à moi aussi ça me déchirait le cœur. De notre séparation, notre éloignement, j'avais peur que notre histoire soit bel et bien finie. A chaque pas que je faisais envers la sortie de l'auditorium, c'était comme si mon cœur se comprimait peu à peu. J'avançais d'un pas, dans ma tête c'était comme si en avançant comme ça, je lui faisais comprendre que je n'avais pas envie de partir comme cela. Relevant la tête vers elle, je murmurais dans un souffle à peine audible pour nous deux « Pardonne-moi.. ».

J'avais tellement envie de venir, d'ouvrir mes bras pour qu'elle puisse s'y loger, de pouvoir lui souffler que tout est fini à présent et que ça va aller mieux. Que tout le monde oublie.. non mieux ! Retourner en arrière. Il y aura qu'un seul point positif que j'aurais tiré de cette grosse bêtise : je sais à présent mes vrais sentiments et l'ampleur qu'ils ont envers elle et peut affirmer aisément que je suis bel et bien amoureux de Malika Brown-Carter. Mais malheureusement, rien n'est simple dans la vie et encore moins la situation dont nous sommes..

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I WANT TO HOLD YOUR HAND

J'avais envie de le retenir, je ne pouvais pas le laisser partir, et pourtant c'est moi qui aurait dû voulu partir. Après tout, je n'étais pas censé ressentir ça. J'aurais dû vouloir le voir partir et le laisser faire, et pourtant maintenant qu'il était là j'étais déchirée. Je ne pouvais pas le retenir. Car malgré la confusion, il m'avait brisé le coeur et ce mal ne partirait pas. L'aimer était toxique, car je ne pouvais pas être avec lui, mais je ne pouvais pas être seule non plus. J'avais besoin de lui et ça me tuait, car ce n'était plus possible. J'avais l'impression d'être prise entre deux murs, coincée car quoi que je fasse je n'irais pas mieux. Ça me faisait tant de mal de le voir s'éloigner de moi, de voir que son regard n'était plus le même, de ne plus le sentir si proche de moi. S'en était devenu difficile de l'imaginer avec d'autres filles. Je pense que ce qui m'avait le plus blessé dans cette histoire, c'était de savoir que je ne comptais plus à ses yeux et qu'il n'avait pas été assez intéressé pour m'attendre, au contraire, il avait prouvé tout le contraire et c'était inimaginable de penser à ça maintenant.

Alors qu'il y a un mois, on marchait ensemble dans les couloirs, se foutant bien de ce que les autres pourraient dire, car on s'aimait - je l'aimais - et que rien d'autre n'importait. Ensemble on savait que ça irait bien. Ça devait être trop parfait, ça devait casser un moment donné, et s'était arrivé. Je ne comprenais pas que tout le monde s'en mêle maintenant et que surtout Alex ne fasse rien pour les faire taire, car il était aussi concerné qu'elle là-dedans. Ce n'était pas juste. La vie n'était pas juste. J'ai perdu celui qui réussissait à rendre mes journées meilleures et me faire sentir comme si j'étais sur un nuage. Tombé en amour ça n'arrivait pas tous les jours et que ce soit réciproque encore moins. J'avais ressenti un tel sentiment lorsqu'il m'avait choisi moi, et pas toutes ces autres Cheerios ou filles qui lui tournait autour, plus jolies, plus drôles que moi et je devais savoir que tout ça n'était pas sincère. Qu'il n'avait pas été honnête, il venait de me le dire, il n'était pas amoureux de moi, avait-il voulu m'épargner d'avoir mal? Je ne voulais pas l'entendre. Pourtant je gardais cette lueur d'espoir lorsque je l'entendu dire que maintenant c'était différent. Mais j'avais perdu toute confiance et j'étais désarmée, incapable de savoir quoi faire ou quoi lui dire.

La vérité c'était que je ne savais pas quoi lui dire, il ne resterait pas de toute manière et il finirait par passer cette porte car une distance était entre nous, et je n'appréciait pas ce sentiment de le savoir s'éloigner, et de savoir que je l'avais perdu. Il n'était pas à l'aise, il venait de s'excuser et je ne pouvais pas lui demander de rester, car ce ne serait pas juste de ma part de le faire, nous avions tous les deux besoin de temps, je ne pouvais pas me permettre de me remettre dans cette relation toute suite. Mais il me manquait et je ne pouvais rien y faire. Puis je l'entendis alors qu'il chuchotait. C'était à peine audible et pourtant ça me vint droit au coeur. Je ne pouvais plus le supporter. Mon coeur se serrait et je me sentait faiblir. Je ne pouvais pas faire de choix, mon coeur me disait de décendre de cette foutue scène et de le retenir, ma tête me rappelait le mal qu'il m'avait fait et je ne savais pas quoi écouter. Je ne pouvais rien dire. Je sentis mon coeur lâcher lorsque j'attendis "Lily" sortir de sa bouche. Il était le seul qui m'avait jamais appeler comme ça, et ça semblait si loin. « Je ne pense pas jamais pouvoir comprendre pourquoi tu l'as fait, et ça vient de se produire et se serait de mentir de te dire que je t'ai pardonné Alex. Mais je peux voir pourquoi tu l'as fait. On se chicanait et je sais que je ne suis pas la plus belle des filles dans cette école. Et que...je ne suis pas prête à faire...enfin tu sais très bien de quoi je parle, je n'ai pas à te le redire, on en a parlé...Mais j'ai pensé que tu attendrais et ça m'a fait mal. Et je ne peux pas juste faire comme si de rien n'était, parce que ça ne va pas pour moi, je me sens mal » Je ne savais pas quoi lui dire, je prenais mon courage à deux mains pour ne pas fondre en larmes. « Mais dès que cette conversation sera fini et que tu passeras cette porte, ce sera finie entre nous, et je ne suis pas prête à te voir partir loin de moi » Voilà j'étais pathétique, en lui disant la vérité je venais de me prouver et lui prouver que malgré ce qu'il pouvait faire et me faire du mal, je serais toujours là à l'attendre. Je m'en voulais là. Je n'aurais pas dû le laisser gagner comme ça et lui montrer que sans lui je ne suis rien.

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Je venais de lui souffler de me pardonner. Mais je savais que ce n'était pas aussi simple, je lui avais fait du mal en ayant accepté les avances de cette Cheerios et c'était même compréhensible. J'avais été faible en allant avec cette fille et je m'en voulais, terriblement. Si j'avais sut dans quelle situation ma vie aurait été par la suite, combien j'aurais fait du mal à Malika, oui, j'aurais préféré l'abstinence. Il est vrai que je ne l'avais jamais fait avec Malika, je l'avais même jamais fait avant cette Cheerios et je me dégoutais de ne pas avoir put attendre que Malika ait été prête. C'est un acte quand même fort qu'il faudrait que l'on fasse avec l'être que l'on aime et avec son consentement. Pas avec la première personne qui passe, non, pas du tout.

Je l'écoutais, je me sentais encore plus mal à la fin de ses paroles et mon cœur se serrait. Il fallait que je prenne une décision afin qu'elle puisse être heureuse. Oui j'avais été idiot de ne pas l'avoir attendue, mais pour moi c'était elle la plus belle de toute. Il est évident qu'elle ne peux pas me pardonner maintenant, je me demande même si moi même je me pardonnerais un jour. J'acquiesçais à sa phrase, je savais que je ne pouvais plus rien faire. Mais je montais à sa hauteur, m'appuyant avec une main et me hissant sur scène, j'essayais d'avoir des gestes un minimum contrôlés. J'avais mal, plus je m'approchais, plus mon cœur se serrait. « Mais dès que cette conversation sera fini et que tu passeras cette porte, ce sera finie entre nous, et je ne suis pas prête à te voir partir loin de moi ». Je fermais les yeux, je le savais aussi et c'était dur. Une chanson me vint en tête, représentant exactement ce que je ressentais. Et j'improvisais, comme je pouvais. Je vins me planter devant elle et passer une main dans ses cheveux en chantant doucement « I'm not a perfect person There's many things I wish I didn't do But I continue learning I never meant to do those things to you And so I have to say before I go That I just want you to know : I've found a reason for me To change who I used to be A reason to start over new and the reason is you »

Je fermais les yeux quelques instants, gardant ma main sur sa joue. Elle était si proche et moi et si loin en même temps. Ré-ouvrant mes yeux, je plantais mon regard dans le sien. Avoir mal dans cette situation n'était qu'un doux euphémisme, je vous l'assure. Murmurant, j'annonçais : « Je comprends que tu ne puisses pas me pardonner, je ne sais même pas si je me pardonnerais un jour. Mais je peux te dire que cette situation m'a fait réfléchir, je suis amoureux de toi Malika, fou amoureux et je n'ai plus peur de te le dire, de le dire aux autres, je suis même capable d'aller le crier dans la rue, dans les couloirs du lycée, dans les vestiaires entouré de gros durs et idiots.. Mais je veux que tu sois heureuse. Je sais qu'avec moi, tu as mal. Je ne veux pas te faire encore plus de mal donc je décide de m'éloigner. De partir.. Bien sûr, je resterais au GleeClub et en tant que Quaterback car j'ai des responsabilités à tenir, je me suis engagé, j'y reste. Mais je vais changer, je ne serais plus le Alex d'avant, je vais changer, pour toi. Je ne partirais pas loin de toi, je serais toujours là si tu as besoin. Mais faut qu'on prenne un temps je pense, un temps pour qu'on puisse y penser et que la blessure se soigne. Je ne vois pas d'autres solutions. » Je me tus, quelques instants puis me pencha vers elle pour prendre sa tête entre mes mains et lui déposer un léger baiser sur son front. « Je veux que tu sois heureuse » lui soufflais-je avant de m'écarter de quelques pas, prêt à partir pour de bon.

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I'M FOREVER YOURS...

Ce n'était pas ce que je voulais. J'étais là sur la scène à me demander comment je ferais après. Une fois que ce serait fini...Je ne sais pas ce qui me faisait le plus mal. Le fait qu'Alex m'ait trompé ou de le voir sortir de ma vie et de surtout continuer sans lui. Je ne savais pas si je trouverais la force de le faire. Oui c'était pathétique et ridicule de penser comme ça. D'avoir autant besoin de lui. Personne ne comprendrait jamais comme je l'aimais et que je l'aimerais toujours même si j'avais toutes les raisons du monde de lui en vouloir. Je ne pouvais simplement pas. J'avais mal, à chaque fois que je le voyais où qu'il posait on regard sur moi et qu'on savait tous les deux que ça ne pourrait plus jamais être comme avant entre nous. C'était encore pire de savoir que je ne le retrouverait pas, qu'il ne serait plus là comme avant. Et pourtant je devais me faire à l'idée, entre nous c'était devenu impossible. Et c'était invivable. Ce sentiment de perdre la personne qui nous a défini pendant si longtemps ce n'est pas comparable. Je sentais mon cœur se serrer à mesure qu'il revenait vers moi.

Je me rappelle au début, alors qu'on se cherchait tout le temps et qu'on ne tombait jamais d'accord, puis les moments où Mrs. Summerson nous mettait toujours ensemble et donc on était pris à passer du temps ensemble et qu'on en avait pas envie. Et puis ils nous ont mis capitaine, et la suite de l'histoire tout le monde la connaît. Aujourd'hui je donnerais tout pour revenir là, parce qu'on avait pas de questions à se poser, juste l'idée de se supporter c'était assez pour nous décourager. Je sentais tout s'écrouler autour de moi, et je ne pouvais rien y faire. C'était comme ça que ça devait arriver, pas autrement et ça me tuait de devoir y faire face. Je ne m'étais jamais imaginé de le perdre. Pas comme ça et je ne pensais pas que se serait si difficile de lui dire adieu. Je sais que personne ne peut vraiment comprendre le fait que je ne lui en voulait pas. J'étais loin de l'excuser mais en prenant du recul je me rendais compte que ça n'allait plus entre nous et qu'au lieu de faire face à nos problèmes, on avait commis des erreurs. Et qu'on n'oubliait pas ça en quelques jours. Je devais prendre du temps pour moi et me laisser du temps pour guérir. Comprendre et savoir ce que je voulais ou pas.

Je n'étais pas prête à être toute seule. Sans lui ça n'avait aucun sens. Il n'y avait pas de mots pour décrire tout ce qu'il avait apporté dans ma vie et ça créerait un vide de ne plus l'avoir à mes côtés. Je sentais qu'il s'éloignait et que malgré tout, je devrais tourner la page sur ce chapitre de ma vie et continuer par moi-même. J'étais incapable de bouger, complètement anéantie. Je le vu s'approcher de la scène, puis me rejoindre, mon cœur allait exploser. Mon cœur se serra. Je ne savais plus quoi faire, je voulais me réveiller maintenant et voir que ce n'était qu'un mauvais rêve qu'il serait là lorsque je me réveillerais. Je me retenais pour ne pas pleurer en plongeant mon regard dans le sien. Je serais incapable de tenir. À mesure qu'il parlait, je me sentais faiblir. Ça me faisait mal, je ne voulais pas qu'il me laisse maintenant. Ce ne serait plus pareil à partir de là. Mais je savais qu'il avait raison. Lui avait assez de courage pour y faire face. Pas moi. J'étais terrifiée. Je laissais quelques larmes coulées soutenant toujours son regard, car je savais que ce serait sûrement la dernière fois que je pourrais le faire et le voir si proche de moi. Je pleurais alors qu'il déposa un baiser sur mon front. « Je t'aime Alex » Je le regardai droit dans les yeux une dernière fois. C'était terminé et je sentais les larmes coulés de plus en plus. Ill s'éloigna et finit par sortir de l'auditorium. Moi je me retrouvai en case départ, le cœur brisé.