« UNE ENFANCE DORÉE »
- Bienvenue au monde, Liam.
Tels furent les premiers mots que ma mère prononça, avec difficulté, à ma naissance. Elle s’appelle Rachel Hamilton et est Française. Son mari, donc mon père, est à ses côtés. Il s’agit de Joshua Hamilton, un Américain. Ces noms évoquent quelque chose dans le monde des célébrités. Mon père est un grand réalisateur de films, et ma mère un mannequin renommé. Ils se sont rencontrés lors d’une grande soirée de stars, à vingt ans, et sont rapidement mariés. À peine deux ans après, je pointais le bout de mon nez. Le 17 mai, à Paris. Ma maman tenait absolument à ce que ses enfants aient aussi la nationalité française ; voilà pourquoi nous sommes nés à Paris. Les paparazzis attendaient ce genre d’événements avec impatience. Mais bien évidemment, je n’en ai pas conscience. Malgré la célébrité de mes parents, je n’aurais pas pu tomber dans une meilleure famille. Trois ans après, j’accueillais ma petite sœur : Stelly Elisabeth Hamilton. Une vraie merveille, j’ai tout de suite été gaga d’elle.

« GRANDIR ? IL FAUT BIEN ! »
Paris est vraiment une superbe ville. Nous y sommes restés pendant trois ans. Malgré notre jeune âge, nous rencontrions beaucoup de gens sans nous en rendre compte, nous étions pris en photo pour des magazines… . Mais nous ne sommes pas restés à Paris. Avec le travail de nos parents, nous avons énormément voyagé. J’avais trois ans quand nous sommes partis, juste après la naissance de ma sœur, Stelly. Nous avons déménager à Los Angles une très belle ville pour une famille. Et pour ce faire des amies j’ai rencontré beaucoup de monde. J’ai également fait la connaissance de la fille du meilleur amis de mon père, Bonnie Presley. Elle est très vite devenue ma compagne de jeux, mon amie Ça me suffit largement ! Parfois, mes parents étaient très occupés. Ils n’avaient pas toujours le loisir de passer du temps avec nous, ce que nous ne comprenions pas toujours. C’était parfois difficile, je devais m’occuper de consoler ma sœur, ce qui fait que nous avons toujours été proches avec Bonnie puisse que la jeune fille bien qu‘elle soit plus jeune que moi m‘aider à m‘occuper de Stelly puis elle s‘entendais bien avec. Parfois, j’allais à l’école. Parfois, j’avais des professeurs particuliers, selon les pays où j’étais, oui mes parents et moi voyageons beaucoup. Je vous laisse imaginer qu’avec tous ces voyages, je parle couramment plusieurs langues : le français bien sûr, l’anglais évidemment, l’allemand, l’italien et quelques notions d’espagnol. Et c’est un grand avantage ! J’ai toujours été très protecteur vis-à-vis de ma petite sœur. Je faisais attention à elle, je l’accompagnais là où elle voulait aller, je m’occupais très bien d’elle et elle pouvait me faire faire ce qu’elle voulait ! Mais ensuite nous avons déménager en Angleterre j’ai du dire adieu à ma chère Bonnie qui commencer à me souler d’être aussi collante mais elle allait me manquer en faite. Je me suis donc rapprocher de ma sœur nous étions bien évidemment tout le temps fourrés ensemble, très soudés… Pour faire quelques coups à nos parents ! Nous nous disions tout, nous faisions énormément de choses ensemble, et notamment les quatre cent coups. Mais rien de bien méchant. Nos parents nous ont initié très tôt au monde des arts : comédie, danse, photographie, musique, mannequinat... Il est très clair qu’ils ont toujours voulu nous voir travailler dans le même domaine qu’eux. Mais ils ne nous ont jamais forcés ! C’était plutôt l’écriture qui m’intéressait, même si ce n’était pas l’art le plus connu. Ma mère m’a toujours poussé à l’excellence. Je multipliais les activités, piano, baseball… Et surtout, je m’intéressais à tout : les sciences, la littérature, les langues, la philosophie, l’économie, l’histoire… C’est grâce à ma mère, tout ça. Elle a toujours voulu que ses enfants soient cultivés, et c’est tant mieux. J’ai donc touché à tout. J’adorais toutes les matières, et encore aujourd’hui tout m’intéresse. Ma vie était donc bien remplie. Malgré les absences de mes parents, j’avais ma sœur. Je ne me plaignais donc pas trop ! J’ai toujours été très gâté. Mais en grandissant, je me suis très vite aperçu que le monde était complexe… Que la célébrité ne m’intéressait pas, que j’aurais préféré avoir mes parents avec moi… Que rien n’était tout beau, tout rose…

« ET BRUSQUEMENT, TOUT PEUT S’EFFONDRER… »
Pourtant, je n’avais encore rien vu. Je n’imaginais pas que je menais encore la belle vie ! Au fond, j’avais tout pour moi. J’avais une famille qui m’aimait. J’étais aimé, gâté, choyé, instruit… J’étais heureux, en fait. Mais ça ne devait visiblement pas durer. Nous vivions tous ensemble à Fawkham. Et je commençais à voir que tout n’était pas tout rose dans ma famille, en plus des absences de mes parents. Mon père était de moins en moins à la maison. Je ne comprenais pas très bien pourquoi. Maman était de plus en plus mal. Elle commença à exercer le métier de comédienne. Un jour, je tombais sur un magazine mondain révélant que mon père avait une aventure. Ce fut un choc terrible. Rentré à la maison, j’étais furieux contre lui et attendis d’être seul avec mes parents pour le forcer à révéler à ma mère ce qu’il faisait. J’eus terriblement pitié d’elle. Elle s’en doutait, mais c’était quand même très difficile. Ils eurent d’énormes disputes. Elle ne pouvait pas le lui pardonner. Ils finirent par décider de se séparer, sans toutefois divorcer. J’avais tout juste quinze ans. Mon père décida de retourner vivre à Paris. Quel déchirement dans ma famille ! La douleur me détruisait. Je ne voulais pas me séparer de ma sœur, mais je ne voulais pas vivre avec mon père, car je pensais que tout était de sa faute. Et je n’allais tout de même pas laisser ma mère et ma petite sœur seules ! J’avais terriblement mal au cœur, et je n’imaginais pas que ma vie puisse s’effondrer ainsi… Mais une nouvelle vie s’ouvrait devant moi, avec ma mère et ma petite sœur.

« Fawkham, JE T’AIME »
J’intégrais St. German High School en seconde, un prestigieux lycée. Le meilleur de l‘Angleterre, je crois bien. La classe ! Maman se remit à travailler en tant que comédienne. Mais elle n’allait pas bien, et je le voyais bien. Ma petite sœur ne comprenait pas très bien, mais elle avait seulement douze ans. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour elle. Je me suis occupé d’elle à chaque fois que ma mère n’en était pas capable, et c’est souvent arrivé. J’adorais ma petite sœur, elle était tout pour moi. À Fawkham, j’ai retrouvé Bonnie, qui était dans ma classe. Quelles belles retrouvailles ! Nous nous connaissions depuis toujours et j’étais vraiment content de la revoir. Elle devint très rapidement une très belle fille, sur d’elle qui sait ce qu’elle veut et elle me plaisait de plus en plus. Nos mères étant amies, j’étais tout le temps fourré chez elle. Je me suis fait de nouveaux amis et j’ai appris à réapprécier les plaisirs les plus simples de la vie.. Ma petite sœur, Stelly, s’entendait très bien avec Bonnie. Ma mère recommençait à avoir le sourire. J’étais en Terminale quand mes parents décidèrent finalement de redonner une chance à leur couple. Papa décida donc de retourner à Fawkham. Ma famille reformée ? Excellente nouvelle !

« DEVENIR ADULTE ? ÇA FAIT PEUR ! »
18 ans. Qu’est-ce que ça passe vite ! J’ai reçu mon diplôme du baccalauréat scientifique la semaine dernière. Avec Bonnie, on était super heureux !Je vais poursuivre mes études dans le domaine du sport.

« DE PIRE EN PIRE… »
Mes parents s’étaient remis ensemble depuis un peu moins d’un an. Ils sont décédés dans un accident de voiture alors que j’avais un peu plus de dix-huit ans. Ce fut un terrible choc pour moi. Je venais à peine de m’installer dans mon propre appartement, alors que mes parents eut avait déménager à Londres avec ma sœur. Je retournai immédiatement à Londres pour les funérailles et pour soutenir ma sœur. Stelly venait de faire son entrée à Oxford. Elle était sans aucun doute la plus effondrée. Ce furent des moments très pénibles et très douloureux pour nous. Dire adieu à ses parents est quelque chose d’affreux, surtout quand on est aussi jeune. Rapidement, des problèmes d’ordre pratique se posèrent. Stelly s’installa au campus du lycée d’Oxford. Mais il était hors de question que je laisse Stelly se débrouiller seule. Je me battis pour obtenir sa garde légale et devins donc son tuteur. C’est ainsi que Stelly me suivit à Fawkham. Grâce à la fortune laissée par nos parents, elle intégra une excellente école privée. Elle entra en internat, mais nous nous voyions tout le temps. Nous avons vécu des moments très difficiles. Je m’efforçais de m’occuper d’elle aussi bien que possible. Bonnie m’aida également beaucoup. Bientôt, c’était comme si nous formions notre propre famille. Nous avions des relations fusionnelles entre nous. Plus soudés, tu crèves !

« LE PRÉSENT FAIT AUSSI PARTIE DE NOTRE HISTOIRE »
Les choses ont changées depuis la mort de mes parents, je me suis rapproché de Bonnie et nous sortons ensemble, j’aime beaucoup passer mes soirées avec elle et Stelly ma sœur quand elle viens pour le week end mais, je sors aussi beaucoup, je suis dans un groupe de sport et avec les potes ont aiment sortir dans nos copines, et Bonnie n’aime pas trop ça mais elle sait que je ne ferais pas de bêtises enfin elle pensait. Je suis fou amoureux d’elle et je n’aime pas la savoir malheureuse à cause de moi, alors après chaque soirée avec mes copains le lendemain j’en fais une avec ma copine pour me faire pardonner.

« ET ENFIN… »
Je suis actuellement fiançais avec Bonnie, je lui ai demandé de m’épouser et elle a dit oui je l’aime tellement si j’avais su qu’une soirée aurait tout gâché entre nous. J’étais à une soirée tout à fait normale enfin au début j’appris ensuite que c’était un enterrement de vie de garçon, on me la dit au dernier moment sinon on s’avais bien que je ne serait pas venu, mais voilà un verre entrainant un autre puis un autre puis une fille a moitié a poil, une très jolie fille même, et tout dérape, je commence a danser avec elle, puis a l’embrasser et tout ce passa ci vite, une chambre un lit je vous laisse imaginer le tableau. Je sentant tellement mal je suis partis de suite apres avoir dessouler. Je rentra et alla voir Bonnie pour lui dire la vérité, j’aurais pu oui, j’aurais put garde ça pour moi mais non j’aime trop Bonnie pour lui mentir alors voilà nous sommes dans une impasse, une impasse dont je ne sait pas comment en sortir, je ne veux pas perdre Bonnie mais j’ai l’impression qu’elle fait tout pour ne pas sauver notre couple. On verra bien comment ça finira ?.